TRIPTYK
whyarchitecture a une double spécialité, la construction neuve en ossature bois et matériaux bio sourcés, et la rénovation.
Ces deux singularités nous ont amenés à travailler de plus en plus sur des projets neufs dans des cadres bâti ultra contraints et patrimoniaux.
Les projets que nous avons choisis de vous montrer sont tous dans un cadre patrimonial d’exception :
Secteur sauvegardé / UNESCO de la ville de Pierre de Bordeaux.
Co-visibilité d’un monument historique, la chapelle de Condat, Chapelle d’Aliénor d’Aquitaine.
Patrimoine Viticole existant surplombant l’embouchure de la Gironde.
Construction du musée du Destin Commun en Nouvelle-Calédonie et concrétiser les valeurs d’un peuple Calédonien unique, grâce à une architecture endémique et à une démarche participative collectif et communicative.
Nous sommes convaincus qu’en travaillant mains dans la mains avec les services du patrimoine, nous pouvons concevoir des projets résolument contemporains, exemplaires d’un point de vue énergétique, bilan carbone, bien intégrés et acceptés dans la ville.
Chacun de ces projets exprime la vérité constructive de son architecture.
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Le projet s’installe sur une parcelle superposant les atouts et contraintes du PSMV, de [RE]Centres, du secteur sauvegardé et de l’UNESCO.
Enjeux
Répondant aux orientations d’aménagement du cahier des charges de cession d’InCité, la construction sous maîtrise d’ouvrage Aquitanis participe à la requalification générale du quartier. L’objectif est de travailler à la fois sur l’amélioration et la restructuration des cœurs d’îlots afin de créer un habitat urbain locatif social offrant des qualités résidentielles dans un paysage mis en valeur.
Triptyk et ses nouveaux aménagements intérieurs doivent également contribuer à l’amélioration de la qualité d’habiter des immeubles avoisinants en ouvrant les cœurs d’îlots communs pour plus de lumière et de végétation. Certains riverains ont profité de cette opportunité pour y ouvrir des fenêtres.
Les maisons
En fond de parcelle, installées dans le calme et la verdure, les maisons individuelles avec jardins constituent la « source d’énergie » du projet, celle qui permet aux autres composants de fonctionner. Ces constructions, entièrement à planchers et ossature bois, font l’objet de traitements architecturaux différents, pour favoriser leur appropriation par les familles. La première est ainsi bardée de terre cuite, la seconde, un bardage bois verticale, tandis que la troisième est habillée d’une vêture métallique jaune.
L’habitat intermédiaire
Un bâtiment d’habitat semi-collectif, implanté à mi-parcelle, proche du principe des maisons en bande avec un bardage métallique gris foncé reflétant les arbres et le ciel.
L’immeuble collectif
Côté rue, un immeuble de logements laisse apparaître sa structure bois verticale.
La typologie traditionnelle bordelaise des maisons de ville verticales nous a inciter à prolonger les proportions de la rue : deux façades latérales de part et d’autre d’un vide centrale de circulation.
Les ouvertures principales dialoguent avec les belles fenêtres bordelaises traditionnelles voisines, en rattrapant leurs altitudes grâce à de grands cadres aluminium gris clair, qui s’ouvrent vers la lumière sur cette façade Nord-Est. Les autres fenêtres s’insèrent dans la trame verticale de la structure bois du bâtiment.
Cette opération initie le renouveau du quartier en démontrant qu’il est possible d’y construire des logements neufs, confortables et abordables, à proximité des emplois, des services et loisirs, avec un bilan carbone remarquable.
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