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Nasrine SERAJI

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  • Adresse : 11, rue des Arquebusiers 75003 PARIS
Nasrine Seraji a étudié à l'AA School de Londres avant de s'installer à Paris et de fonder son atelier d'architecture. À son actif figurent notamment : L'école d'architecture de Lille et 164 logements étudiants tous deux sélectionnés pour l'Équerre d'Argent et le prix Mies Van Der Rohe. Un complexe d'habitation à Vienne, Autriche et un complexe de 200 logements, un remisage de bus RATP et des petits équipements à Paris 14e. Des équipements et plusieurs projets d'urbanisme d'échelle variable (de 100 km2 en Chine jusqu'au 62 ha au Rheu, en France). Professeur en Architecture, elle a enseigné dans des écoles prestigieuses comme : la AA School, Columbia University, Princeton et Cornell, dont elle a dirigé le département d'architecture de 2001 à 2005. De 2006 à 2012, elle est professeur et dirige l'institut d'art et d'architecture de l'Académie des beaux-arts de Vienne, en parallèle de la direction de l'École Nationale Supérieure d'Architecture Paris Malaquais qu'elle continue à ce jour. Elle a reçu la Médaille d'Argent de la Formation (Académie d'Architecture), ainsi que les distinctions de chevalier de l'Ordre des Arts et lettres, chevalier de l'ordre national du Mérite et chevalier de l'ordre national de la légion d'honneur.

Sleeping Beauty-EDF

Plateau de Saclay, France, 2011

Programme: EDF Campus for technical and general training, exhibition hall, teaching spaces, library, research, administration, cinema, sport and hotel facilities...

Size: 25 000 m2/100 000m3

Finally we have the chance to work on a giant project, relatively speaking.
In Europe it is impossible to think of the problem of tall buildings. The volumetric context of European cities, the superimposition of layers of history and the relationship of land ownership and development are all factors that play in favour of staying relatively low in building heights. In the 60's, the idea of proliferation was what many architects such as Utzon, Aalto and Saarinen took to its very limits. Organic did not mean a curvy form, but the possibility of addition as a growth pattern. It was theorized and experimented with in what Utzon called 'additive architecture'. We were trying to see if the idea of Organic and additive architecture could be applied to a sectional organization as opposed to a plan.

The project is both a manifesto as well as a belief in enabling repetition to create variety. The sheer size of the building and the height regulations encouraged us to work with the idea of a sleeping skyscraper. Perhaps the front cover of Delirious New York has been engraved into our brains as architects.

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